Elena : Comment je me suis libérée du regard des autres

 

Je me nomme Elena Rinaldi, et pendant longtemps, j'ai cherché la reconnaissance à travers les yeux des autres. J'ai cru que pour être aimée, je devais plaire, me conformer, répondre aux attentes de ceux qui m'entouraient. Mais cette quête de validation m’a menée sur un chemin tortueux, loin de mes véritables envies et passions.

Le poids du jugement d’autrui

Je passais une grande partie de mon temps à essayer d'être ce que les autres attendaient de moi. J'avais l'impression que pour être acceptée, je devais répondre à des critères précis. J’ai fini par m’oublier, par ne plus savoir qui j’étais vraiment. Ce que je croyais être ma véritable identité n’était qu'une image façonnée par le regard extérieur.

Je m’étais trompée en accordant trop d’importance à ce que les autres pensaient de moi. Ce qui comptait vraiment, c’était ce que je ressentais au fond de moi-même. C’était ma propre lumière intérieure que je devais écouter.

Le déclic : une vie vécue pour soi

Un jour, j'ai pris conscience que, peu importe ce que je faisais, les critiques et les jugements seraient inévitables. Alors pourquoi me priver de vivre pleinement ? Pourquoi continuer à chercher l’approbation des autres ? À ce moment-là, j’ai décidé de suivre mes propres aspirations, de me libérer du regard des autres, et de vivre pour moi.

C’est en écoutant mon cœur que j’ai trouvé la paix intérieure. J’ai compris que ma véritable identité ne se trouvait pas dans ce que les autres pensaient, mais dans ce que j'étais vraiment.

Se recentrer sur ses passions et son âme

Je me suis rendue compte que chaque être humain est unique. Nous avons tous notre propre vision du monde, et il n’est pas nécessaire de se comparer aux autres. Aujourd’hui, je vis selon mes propres principes et non selon ceux des autres. J’ai appris à rester fidèle à mes passions, à ce qui m’anime, et à ne plus me laisser influencer par les attentes des autres.

Ce processus a été long, mais tellement libérateur. Je suis enfin en paix avec moi-même.

Mon message : Vivez pour vous, pas pour les autres

Aujourd'hui, j'aimerais partager ce message avec vous : Libérez-vous du regard des autres. Soyez fidèle à ce que vous êtes. Suivez vos passions, écoutez votre âme. Peu importe ce que les autres pensent, ce qui compte, c'est ce qui vous fait vibrer.

Les critiques seront toujours présentes, mais elles ne devraient jamais définir votre valeur. La véritable liberté vient de l’intérieur, et c’est là que réside le bonheur.

 

"Ce n’est pas dans le regard des autres que vous trouverez votre bonheur, mais dans la lumière de votre âme."

Image : mes créations AI/My AI Artworks

- Corinne Écrivaine -

27 novembre 2024

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Transformer ma douleur en force : une leçon de vie

 

Transformer ma douleur en force : une leçon de vie

 

Je me nomme Aurore, et comme l’aube après une nuit sombre, j’ai traversé des ténèbres avant de trouver ma lumière. Comme beaucoup d’entre vous, j’ai connu la douleur. Une douleur si intense qu’elle semblait vouloir me briser. Mais aujourd’hui, je veux vous raconter comment j’ai appris à la transformer en une force, et comment, malgré tout, j’ai choisi d’avancer. Comme les rayons du soleil, j’ai appris à briller à travers mes ombres.

 

Voici mon histoire.

 

Je me souviens du jour où la douleur s’est installée dans mon cœur, un poids que je pensais ne jamais pouvoir porter. Elle était là, immuable, prête à me submerger à chaque instant. Pendant longtemps, j’ai tenté de l’ignorer, de faire comme si elle n’existait pas, mais elle ne disparaissait jamais. Avec le temps, j’ai compris qu’elle ne disparaîtrait pas. Elle changeait de forme, parfois plus sourde, parfois plus vive, mais toujours là, tapie au fond de mon âme.

Je ne pouvais contrôler ce qui m’avait blessée. Cette réalité, aussi dure soit-elle, m’était imposée. Mais, j’ai découvert que j’avais le pouvoir de décider comment réagir. J’ai donc fait un choix : ne pas laisser cette douleur définir ma vie.

Au lieu de me noyer dans cet océan de souffrance, j’ai appris à l’apprivoiser. Oui, il y a eu des jours sombres où tout semblait s’effondrer, mais je me suis accrochée. J’ai décidé de transformer cette douleur en une force, en une énergie nouvelle pour avancer.

Chaque pas était difficile, chaque bataille intérieure un défi. Mais avec chaque victoire, aussi petite fut-elle, je devenais plus forte, plus résiliente, plus combattante.

Aujourd’hui, je regarde en arrière avec une profonde gratitude. La douleur, bien que toujours présente, ne m’écrase plus. Elle m’a appris à me relever, à continuer malgré les obstacles.

La douleur ne m’a pas détruite. Elle m’a transformée. Et maintenant, je sais que je peux affronter tout ce que la vie placera sur mon chemin.

 

Et vous, comment choisirez-vous d’affronter vos défis ? Ensemble, transformons nos douleurs en forces pour illuminer nos vies ?

 

 

Image : mes créations AI/My AI Artworks

- Corinne Écrivaine -

19 novembre 2024

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Rêvez jusqu'à ce que vos rêves deviennent réalité

  

Il y a une voix en chacun de nous, une voix qui résonne dans notre esprit, souvent subtile mais persistante. Cette voix intérieure est celle qui murmure nos rêves les plus profonds, nos passions, nos désirs véritables. Et pourtant, combien de fois l'avons-nous ignorée, étouffée par les doutes ou par les jugements des autres ?

Poursuivre ses rêves, c'est choisir de vivre pleinement, de s'engager sur la voie de l'accomplissement personnel. C'est refuser de laisser les obstacles et les critiques nous détourner de notre destinée. Les rêves sont les graines de notre potentiel, et il est de notre responsabilité de les nourrir, de les faire grandir et de les voir fleurir.

 

Il est facile de se laisser décourager par les voix extérieures, celles qui nous disent que nos rêves sont irréalistes, que nous devrions abandonner et suivre un chemin plus rationnel. Pourquoi devrions-nous les écouter ? Pourquoi devrions-nous taire ce que notre cœur connaît déjà ? Il est crucial de se rappeler que ces voix ne connaissent pas la force de notre volonté ni la profondeur de notre passion. La véritable voix à écouter est celle qui résonne en nous, celle qui nous murmure de continuer, de persévérer, de croire.

 

Ceux qui réussissent ne sont pas ceux qui ont évité les chutes, mais ceux qui ont refusé d'abandonner. Chaque revers, chaque critique, chaque doute n'est qu'une étape sur le chemin de la réalisation de soi. Il est important de se rappeler que les plus grandes créations ont commencé par un rêve. Un rêve que personne ne comprenait. Mais ces rêveurs ont écouté leur propre voix, pas celle des autres.

 

Croire en ses rêves, c'est aussi croire en sa destinée. Chaque rêve est une partie de notre identité, une expression de notre âme. Si nous avons un rêve avec lequel nous sommes venus au monde, ce n'est pas pour le laisser dans l'ombre, mais pour le faire vivre, pour le réaliser et pour le partager avec le monde. Chaque rêve accompli est une victoire sur les doutes et les peurs, une affirmation de notre pouvoir et de notre valeur.

 

La poursuite de nos rêves est un voyage, un chemin semé d'embûches et de défis. Mais chaque pas en avant est une leçon, chaque obstacle surmonté est une victoire. Ce voyage nous transforme, nous rend plus forts, plus résilients et plus conscients de notre potentiel. Il nous apprend à croire en nous-mêmes, à faire confiance à notre intuition et à notre voix intérieure.

 

Croire en ses rêves, c'est choisir de vivre une vie authentique, une vie alignée avec nos valeurs et nos aspirations. C'est refuser de se conformer aux attentes des autres et de suivre un chemin qui ne nous appartient pas. C'est embrasser notre véritable nature et notre destinée, et c'est vivre pleinement, avec passion.

Ne laissez personne vous dire que vos rêves ne valent pas la peine d'être poursuivis. Vous êtes la seule – le seul à connaître la puissance de ce qui vous habite. N'attendez pas que tout soit parfait pour vous lancer. N'abandonnez jamais vos rêves. Écoutez votre voix intérieure, celle qui vous guide et vous inspire. Croyez en votre destinée et en votre pouvoir de la réaliser. Chaque rêve est une étoile, alors faisons briller et vivre cette étoile.

 

"Le monde a besoin de ceux qui osent rêver, car ce sont eux qui transforment l'impossible en réalité."

 

Image : mes créations AI/My AI Artworks

- Corinne Écrivaine -

18 octobre 2024

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Humanity

 

Since the dawn of humanity, it has been written that it do exist an Eden and a Hell.

But in light of human behavior, I wonder if we’re not already in Hell.

How can we be judged on a simple photo? A photo will be interpreted in different ways depending on who is looking at it.

How can we be judged on a resume? It is not a piece of paper that defines who we are.

How can we be judged in 30 minutes during a job interview? It is possible to be who you want to be at this moment.

 

Behind smiles, sometimes, this hides the darkness of soul.

Behind fine words sometimes, that hides jealousy

Behind certain behaviors, this hides manipulation.

 

The closer I get to the human being, the more I see his darkness.

 

And yet in this world that has sunk into darkness, they still remain beautiful souls, some already met and others to meet.

No matter how many, no matter where in the world, they exist.

It is these beautiful souls who still bring light to this world.

 

 

 

 

Depuis l’aube de l’Humanité, il est écrit qu’il existe un Paradis et un Enfer.

Mais au vu du comportement humain, je me demande si nous ne sommes pas déjà en Enfer.

Comment pouvons-nous être jugés sur une simple photo ? Une photo sera interprétée de différentes façons suivant la personne qui la regarde.

Comment pouvons-nous être jugés sur un curriculum vitae ? Ce n’est pas un bout de papier qui définit ce que nous sommes.

Comment pouvons-nous être jugés en 30mn lors d’un entretien d’embauche ? Il est possible d’être qui l’on veut être à cet instant.

 

Derrières des sourires, parfois, ce cache la noirceur d’âme.

Derrières de belles paroles parfois, ce cache la jalousie

Derrières certains comportements, ce cache de la manipulation.

 

Plus je me rapproche de l’être humain et plus j’y vois sa noirceur.

 

Et pourtant dans ce monde qui a sombré dans les ténèbres, ils restent encore de belles âmes, certaines déjà rencontrées et d’autres à rencontrer.

Peu importe le nombre, peu importe l’endroit dans ce monde, elles existent.

Ce sont ces belles âmes qui apportent encore la lumière dans ce monde.

 

 

 

- Corinne Écrivaine -

11-05-2023

 


We are All Warriors

We are all warriors,

 

Life, sometimes, is a heavy burden to carry. So heavy, that we walk with our heads down and our backs bent so as not to see or be seen.

 

There are wounds that cannot be seen.

There are scars that cannot be seen.

There are invisible battles that we must fight alone.

 

But we hide all this behind our smiles.

 

At times, doubt, pain and fear settle in our hearts.

Can we continue to smile when we are bruised inside?

Can we continue to be strong and courageous when we are weak inside?

Can we continue to pretend and hide the pain of our soul?

 

 

There are doubts, fears, pains and fights to be led in each of us. But there is also in each of us, the strength, the courage, the trust and the hope to win this battle.

 

 

- Corinne Ecrivaine -

29-04-2023


#Stop hate

Fed up !!!

Are social networks a reflection of our current society ?
I can't stand all this wave of gratuitous hate on social networks anymore.
The world is changing and human beings should change too.
Everyone has the right to be represented, whether in books, films or series.
Regardless of their ethnic origins, regardless of their sexual orientation, regardless of their culture, their choice of life.
When I see hate messages because Disney's upcoming Live Action "The Little Mermaid" is starring Halle Bailey it pisses me off.

All this animosity towards all these series that we say "woke" I do not understand.

The series "The Rings of Power" actress Mordyff Clark was insulted, Daisy Ridley on the Star Wars saga and many others.

Not to mention the series that highlight the queer community : Warrior Nun, Motherland Fort Salem, Willow.

For the 1st time in its history Disney has finally decided to give life to the 1st gay romance (which I love).

I find this magnificent because everyone on this Earth has the right to be represented.
I understand all these famous personalities who decide to leave social networks or simply not to have public accounts.

Seeing all these attacks on a daily basis, regardless of gender, physique, skin color, even stories, series, films, it becomes tiring and boring.

That we don't like a series, a cover, a brief actor, everyone is free to choose and think.

But from there to unleash gratuitous hatred on social networks, no.
No matter where we live in the world, no matter whom we love, we all have the right to love and live our life as we wish deep in our hearts.

 

 

- Corinne Écrivaine -

22nd of April. 2023

 


#SaveWillow  #RenewWillow

I’ve just written this letter, let's try to share it as much as possible on social medias.

 

Dear Mr. Disney,

 

I am writing to you today to ask you to reconsider your decision to cancel the Wiillow TV show in favor of the Star Wars franchise.

 

Please, this series is more than just a TV show, it is the heart and soul of the queer community. At these time when it is still difficult to be accepted by society, you have, for the first time in your company, given life to a queer princess and her love relationship with her knight.

 

You have shown the world that we must accept ourselves, love ourselves, as we are and not be afraid of our difference. You have not sexualized this queer couple but you have given them a beautiful love relationship based on sincerity, simplicity and especially love.

 

Kit and Jade are a model for all the teenagers who are looking for answers to their emotions, Kit and Jade have shown them that loving each other is not a question of sex but simply of chemistry between 2 sincere human being.

 

The Willow TV show is filled with positive messages:

 

« Believe in yourself, you will be invicible.»

« Love is the most powerful force in the universes. »

« My fears, it doesn’t get to decide. It doesn’t get to define me. I don’t let it that power.»

 

 

What other series represents so much in everyone's heart?

 

You started a fight, you brought happiness to a whole generation and today you have just broken thousands of hearts.

 

All these people who worked on this project, the cast, the technicians, the make-up artists, the costume designers, the writers... A whole team that worked hard to see this beautiful project come true.

 

This show had to go on, there are so much to develop on the story, the characters and even the return of Val Kilmer but you didn't give any chance.

 

The actors have given so much to their characters come to life.

 

When Mr. Walt Disney created his empire, it was to offer dreams to the world in order to escape from a sad and gloomy reality, where you have to fight every day to be yourself.

 

The values of this company are to produce magic and dreams.

 

In one day you have broken thousands of hearts, hopes, and dreams.

 

Please, think about it.

Everyone needs magic and dreams.

The world needs magic.

 

 

Here is the link of the petition

 

https://www.change.org/p/renew-willow-for-season-2?utm_content=cl_sharecopy_35461186_en-US%3A8&recruiter=637053440&recruited_by_id=7f9791c0-ac11-11e6-9a74-8971d7fb171d&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink&utm_campaign=psf_combo_share_initial&utm_term=psf_combo_share_initial&share_bandit_exp=initial-35461186-en-US&fbclid=IwAR0LoxoFChw1vElfFyzrNvE43qTSWu_k1GiyTH4OC1MhwH-JFHmX0bhBCzE

 

 


M. Le Président,

 

La France pleure et les français meurent à petit feu.

 

J’ai grandi dans une France où il faisait bon vivre, où l’on riait, s’embrassait, passait de bons moments entre amis, où les relations humaines existaient encore avec leurs valeurs et leurs importances.

J’ai grandi dans une France où il suffisait de sortir et d’aller profiter d’un bon petit plat au restaurant, voir un agréable film au cinéma, boire un verre dans un bar.

 

J’ai grandi dans une France où il suffisait de prendre son vélo et s’évader sur les chemins caillouteux, sentir le vent sur nos visages, où nous pouvions rester des heures assis sur un banc à papoter, regarder les étoiles, nous fabriquions des téléphones avec deux boîtes de conserves, nous jouions dehors, nous tombions, nous pleurions, nous guérissions de nos petites blessures et nous repartions de plus belles à rire et s’émerveiller d’un petit rien. Certes nous ne possédions pas grand-chose mais nous étions heureux.

 

Je suis née dans une France où il faisait bon vivre. Nous pouvions rester des heures assis à regarder les étoiles, papoter de tout et de rien, marcher à la fraîcheur du soir sans aucune crainte. Aujourd’hui un simple geste ou parole engendrent une agression. Il y a une telle recrudescence de la violence qu’il n’y a plus de sécurité, de sérénité. Nous vivons dans la peur. La violence est omniprésente, dans les médias, dans les émissions de TV, dans les rues… Elle a pris une telle ampleur qu’il est quasi impossible de la canaliser. Les valeurs, le respect se perdent entre les gens mais aussi face à l’uniforme, la République. Quel monde allons-nous laisser aux enfants d’aujourd’hui ? Un monde basé sur la violence, l’irrespect, la peur de l’autre ? La pauvreté ne cesse de s’accroître d’année en année. Le fossé s’agrandit au fil des ans entre les différences classes sociales. Que se passera-t-il lorsque la limite sera dépassée ? Certains privilégiés et les autres ? La pauvreté engendre la haine et la haine engendre la violence.

 

J’ai grandi dans une France qui n’existe plus aujourd’hui. L’entrée dans le XXIè siècle a tout chamboulé voire tout effacé. L’Humanité s’est retrouvée submergée en pleine tempête technologique d’une façon très fulgurante et hors de contrôle. Le peu d’humanité qui nous restait a été dévastée par cette déferlante technologique qui donna naissance à ce monde virtuel auquel nous avons contribué. Un processus qu’il est désormais impossible de stopper dont nous ignorons l’aboutissement final. Garderons-nous notre âme ou l’avons-nous déjà vendue ?

Avide de richesses, de pouvoir, à en vouloir toujours plus, nous n’avons cessé d’adapter la nature à notre environnement, pour notre survie et nos besoins, au détriment de l’écologie, des écosystèmes, de la biodiversité. Nous avons épuisé les richesses que nous offre cette planète. Les grandes étendues sauvages noyées dans du bêton pour des édifices, de plus en plus de bâtiments, étant donné que les humains sont de plus en plus nombreux  Les arbres abattus, un arbre déraciné et un souffle de vie arraché à la planète ainsi qu’une vie animale décimée. Le chant des oiseaux remplacé par le hurlement des tronçonneuses sanguinaires.  Asphyxier les cours d’eau en leur réduisant leur espace de vie par la construction de barrages, de zones de loisirs. Toutes ces foreuses qui martèlent la terre, la font saigner jusqu’à épuisement pour que nous puissions utiliser nos transports. Nous lui avons pris tout ce que nous pouvions lui prendre jusqu’à l’étouffement. Tels des pilleurs, nous agissons comme si cette planète nous appartenait or nous ne sommes que des locataires. La Terre pleure, la Terre se meurt mais nous restons sourds et aveugles à ses souffrances. Nous continuons encore et encore à la marteler, la martyriser. Jusqu’où irons-nous ?

 

Qu’attendez-vous ?

 

Le jour où il n’y aura plus d’abeilles pour butiner, la biodiversité disparaitra.

Le jour où il n’y  aura plus aucune espèce animale, qui nourrira l’homme.

Le jour où les rivières, les cours d’eau seront entièrement asséchés, les animaux marins disparaîtront

Le jour où il n’y aura plus d’arbres, ni de fleurs, comment l’homme respirera  t-il ?

Le jour où la faune et la flore auront été ensevelies par le bêton que deviendra t-il de la nature

Le jour où toutes les réserves de la planète seront épuisées, comment l’homme survivra t-il ?

Ce jour là, l’Homme, contemplera alors toutes ses richesses qui lui seront désormais inutiles à sa survie.

 

La Terre est fatiguée, la Terre saigne.

 

La Terre souffre. La Terre se meurt.

 

L’Humanité désire retourner sur la Lune, coloniser Mars, certes, c’est une belle aventure lorsque l’on voit l’avancée incroyable que nous avons peut faire ces dernières années. Mais quelles en sont les véritables raisons ? S’approprier les richesses que ces planètes, météorites peuvent fournir. Recommencer les mêmes erreurs que nous avons faites sur la Terre ? L’Homme est un prédateur, un colonisateur. L’Homme a asséché la planète jusqu’à son dernier souffle de vie, tel un vampire vidant de son sang sa victime.

La Terre est en colère. La Terre étouffe.

 

Il y a de plus en plus d’humains sur la planète mais de moins en moins de place. Les ressources naturelles ne suffisent plus à nourrir toute l’humanité. La Terre s’asphyxie. Elle ne peut plus continuer ainsi à souffrir. Ce parasite qui ne cesse de se développer et la dévorer. Ce parasite appelé : humain. La Terre a tout à nous offrir mais au lieu de nous en réjouir nous n’avons fait que la détruire. En colère et inquiète pour sa survie, elle nous a envoyé son dernier ultimatum. Un  dernier message à toute l’Humanité.  

 

Le 16 novembre 2019 nous entendîmes parler pour la première fois d’un virus émergeant en Chine à Wuhan. Bien sûre, nous étions persuadés que cette pandémie qui prenait de plus en plus d’ampleur dans ce pays, resterait sur ce territoire et ne franchirait jamais les frontières. Tout comme ce fut le cas pour l’explosion de Tchernobyl comme quoi les nuages toxiques se seraient arrêtés à la frontière française. Nous ne nous sentions aucunement concernés par l’actualité quotidienne de ce virus inconnu qui se propageait à une telle vitesse en Chine qu’ils furent dépassés par le nombre de contaminés et construisirent un hôpital provisoire en 10 jours. Mais le mal était déjà installé sur la planète et le virus se répandit en quelques mois dans le monde entier. En ce 17 mars 2020 tout le pays fut mis en confinement. Du jour au lendemain, nous nous retrouvâmes isolés et seuls. Nos demeures devinrent nos prisons et nous devenions les porteurs de ce virus appelé COVID 19. Nous ne pouvions plus nous embrasser, faire des accolades, se rapprocher les uns des autres, à porter des masques au quotidien. Nous avons été séparés de nos familles, de nos amis, de tout ce qui faisait notre existence. Les seules images que les médias diffusaient été celles de toutes ces victimes dans le monde, cette souffrance, cette peur, cette angoisse et cette fameuse question « allons-nous, nous en sortir ? » Les images de ces villes désertes où jadis la vie s’épanouissait, il ne restait que le silence et le vide. Dans certains endroits les gens essayaient tant bien que mal de supporter cette terrible situation en se parlant d’un balcon à un autre, jouant de la musique pour ramener un peu de joie mais dès que les fenêtres se refermaient nous retrouvions notre prison de silence et de solitude. Nous étions devenus nos propres ennemis. Qu’en est-il des fêtes de famille ? Qu’en est-il de toute cette magie de Noël ? La magie a laissait la lace à la morosité. Nos vies s’arrêtèrent et notre liberté nous fut volée. Sans oublier que pour certaines personnes, ce n’est pas le virus qui leur a ôté la vie, mais les coups de leur conjoint. Prisonnières de cette cruauté sans nom où aucune issue de sortie ne leur était disponible. Une période très difficile mentalement mais qui nous rappelle que finalement nous ne sommes pas les maîtres de ce monde.

 

Et pendant que l’humanité s’était arrêtée de vivre, la nature reprenait ses droits, s’épanouissait, respirait. Les animaux circulaient en toute liberté même dans des endroits les plus insolites telles que les grandes villes de ce monde. Aucun ne risquait d’être abattus ou traqués. Ils étaient libres. La planète était à eux.

 

Nous pouvons aller dans l’espace, sur la Lune, sur Mars, créer une Intelligence Artificielle, modifier l’environnement, face à la nature et sa colère, nous resterons toujours tous petits. L’histoire nous a enseigné bien des leçons de part le passé mais l’humain est ainsi à toujours répéter les mêmes erreurs. Les valeurs ne sont plus. Jusqu’où irons-nous ? Jusqu’à notre propre destruction ? 

 

Quelle société allons-nous laisser aux enfants ?

 

- Corinne Écrivaine –

Fait le 18-12-2021

 

 

 


 

SF MAG n° 112 disponible en librairie.

 

A l'intérieur 2 articles que j'ai écrits.

 

AD ASTRA le film

TIMELESS la série.

 

Bonne lecture

SF MAG n° 111, disponible en librairie.

A l’intérieur : l'article que j’ai écrit sur la série Supergirl.

 

Bonne lecture à tous. 


Pour tous ceux qui sont en souffrance. Afin d’avoir la force de pouvoir avancer chaque jour, on s’accroche à tout ce qui peut nous apporter une lueur d’espoir. Pour certains c’est la religion, pour d’autres un état d’esprit ou la pensée de se dire « qu’il y a pire ». On cherche du réconfort là où l’on peut le trouver. Mais peu importe le degré de souffrance à chacun, pour la personne qui le vit au quotidien, elle est là bien présente, ancrée dans son âme et son cœur aussi lourde qu’une enclume à porter. On continue, parce que nous sommes programmés ainsi. Survivre.  On s’enivre des bons moments, des jours heureux, histoire d’oublier. On se cache avec notre douleur car l’entourage ne comprendrait pas et finira par se lasser.  Malgré qu’elle soit dissimulée, il y a toujours une date, une odeur, un endroit, qui va faire remonter à la surface ces terribles instants. On les laisse passer comme un orage laissant la place à un arc en ciel. On vit en attendant le lendemain rempli d’espoir. Il y aura toujours un lendemain, un arc en ciel, de l’espoir.

 

 

- Corinne Écrivaine –


La souffrance

Aujourd’hui, j’aimerais parler d’un sujet très délicat voire tabou, dont personne n’ose parler. Et pourtant il est bel et bien omniprésent tous les jours en forte augmentation depuis l’entrée dans le XXIè siècle et cette pandémie.
Je veux parler de ceux qui décident de tout arrêter par leur propre volonté.
Pour la plupart des gens, ceux qui ne les ont jamais côtoyés mais juste croisés un jour lors d’une soirée ou au boulot ou le voisinage ou autre se sont des lâches. Pour les proches, il ne reste que des questions sans réponses, une forte douleur dans leur cœur et leur âme avec laquelle ils devront vivre tout le reste de leur vie, pour certains une culpabilité alors que personne n’est coupable. Et d’autres ne surmonteront jamais cette terrible souffrance.
Mais, cet acte si désespéré, qui pousse l’être à agir de la sorte, n’est aucunement un acte dans le but d’engendrer un tourment à ses proches. Ce n’est non plus un acte dans le but de partir car qui voudrait réellement partir lorsque la santé est présente ? L’unique but d’un tel acte d’anéantissement est de se libérer d’un supplice devenu trop intense au quotidien. Une souffrance qui n’est nullement physique mais morale.
Beaucoup de personnes en ce monde derrière leurs sourires, leurs blagues, leur joie de vivre en extérieur, possède ce déchirement à l’intérieur de leur cœur.
Ho bien sûre grâce à internet et toute cette technologie, il est possible d’être en relation avec le monde entier. Mais qu’en est-il des véritables relations, celles que l’on partage autour d’un verre, d’un repas ou juste une balade pour papoter autrement qu’avec un écran. Le monde n’a jamais été aussi seul que depuis la création des réseaux.
Le harcèlement scolaire devenu le harcèlement web aujourd’hui, la solitude, l’isolement, la violence, la maladie, le rejet…. Il y a tant de forme de souffrance.
La souffrance n’a pas d’âge.
- Corinne Écrivaine –
Désolée si certains seront choqués par ces propos.
24-08-2021

Lettre à l'enfant que je n'aurai jamais

Mon cher enfant,

 

J'ignore quel genre de maman j'aurais été. J'aurais certainement fait des erreurs. Mais ce qui est sûre c'est que j'aurais fait au mieux pour que tu sois heureux dans ta vie. Tu sais, il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises mamans. Il y a tout simplement des mamans qui font du mieux qu'elles le peuvent dans leur vie afin de tenir ce rôle.

 

Les premiers instants de ta venue en ce monde, j'aurais senti ton petit cœur battre contre mon cœur et ta respiration tout contre le mienne. J'aurais versé mes premières larmes de joie et posé mon premier baisé sur ton front.

 

Tu aurais été mon souffle de vie, les battements de mon cœur, mon soleil, mon unique raison d'avancer chaque jour et de me battre.

 

On aurait partagé des moments simples de la vie, des instants de joie, de tristesse, j'aurais séché les larmes de tes peines, des conflits, des réconciliations, mais tout cela n'aurait été rien à côté de tout l'amour que je t'aurais donné.

 

A chaque étape de ta vie, j'aurais été auprès de toi. Tes premiers pas, ton premier sourire, tes premières paroles, tes combats, tes bonheurs, ton premier chagrin, tes confidences, tes secrets bien gardés.

 

J'aurais ri avec toi, pleuré avec toi. Tes souffrances auraient été miennes, tes joies, ton bonheur auraient fait mon bonheur.

 

Je t'aurais tout donné. Ma vie aurait été pour toi. Je t’aurais chérie plus que ma propre vie.

 

Je t’aurais dit ceci : Mon enfant, la vie c’est comme un grand 8, tu auras de merveilleux moments avec de belles personnes, de belles rencontres que tu aimeras et garderas dans ton cœur. Et tu auras des situations difficiles, des combats à mener, des mauvaises rencontres qui te blesseront mais de tout cela tu en sortiras plus fort, plus grand, plus mature car tu apprendras de tes erreurs et de tes douleurs. La vie est une leçon universelle. Et ta force tu la puiseras au plus profond de ton être.

 

Je t’aurais aimé de toute mon âme mon cher enfant.

 

PS. Je n’ai pas le rôle de maman. Je suis juste une tatie qui essaie de faire au mieux, qui fait parfois des erreurs mais qui espère être une merveilleuse tatie pour mes 3 neveux que je porte dans mon cœur et une petite princesse qui sera toujours dans mon cœur.

 

 - Corinne Écrivaine -


Non au harcèlement scolaire

Il y a des blessures dont on ne guérira jamais. Des blessures qui resteront ancrées dans notre âme et notre cœur. Des blessures qui nous marqueront à vie.

La vie, parfois, est un lourd fardeau à porter. Une souffrance tellement forte que l’on marche le dos courbé, la tête baissée pour ne pas voir et ne pas être vu.

Lorsque l’on grandit dans un monde de douleur et de rejet, il est très difficile d’avancer la tête haute avec une belle estime de soi. Plus le gouffre vous engloutit et plus vous vous perdez dans les méandres de la souffrance. L’espoir s’éteint un peu plus chaque jour.

Si l’adolescence est un passage plus ou moins douloureux suivant les expériences de chacun, pour certains c’est la traversée de l’enfer.

Nous commençons à apprendre sur soi, sur la vie, sur les relations humaines. Les 1res blessures de l’âme et du cœur surviennent.

Le collège, le lycée de belles époques, de beaux souvenirs mais aussi des cauchemars, la souffrance.

Se réveiller tous les matins, en ayant passé la nuit à pleurer, la boule au ventre, les vomissements, les tremblements, le désir d’être loin de tout, de disparaître. Si seulement.

Disparaître pour ne plus devoir aller dans l’Antre du Diable. Et se retrouver quotidiennement jetée dans la fosse aux démons.

Etre la proie du mal chaque jour. Se demander pourquoi ? Est-ce parce que nous sommes différents ? Est-ce parce que les personnes mauvaises s'attaquent aux plus faibles par lâcheté ? Pour se donner de l'importance vis-à-vis de leurs camarades ? Est-ce une raison pour eux d'exister ? Prisonniers de leur jalousie et de leur méchanceté, ils ne peuvent agir autrement que de se nourrir de la souffrance qu'ils ensemencent ? Il leur faut donc, pour exister, une âme à détruire.

Comment choisissent-ils leur victime ? Je l'ignore. Mais j'ai ressenti dans ma chair le venin de la méchanceté humaine.

Se lever chaque jour sachant qu'on allait être la cible des moqueries faciles, de l'ignominie gratuite d'une catégorie d'individus.

Des journées, retranchée dans un mutisme, isolée, dans la détresse et la solitude. Les larmes oui ces larmes qui ne cessaient de couler.

Tous les matins, assise dans le bus, le visage tourné contre la vitre afin que personne ne puisse voir mes larmes. Le ventre se nouait au fur et à mesure que le bus approchait de l’Antre du Diable.

Le plus douloureux était-ce le harcèlement que je subissais au quotidien ou le faite que mon frère, mon cousin qui je côtoyais dans le même lycée agissaient comme s’ils me connaissaient pas ?

Il n’y avait aucun répit que ce fut pendant les cours, les profs qui faisaient semblant de ne rien voir et rien entendre. Dans le bus pendant le trajet aller/retour, ceux qui simulaient des actes sexuels dans le dos et durant la récréation qui passaient des mains… Il y avait toujours un moment, une situation… La seule accalmie demeurait pendant les heures de pauses entre chaque cours, seule adossée à un mur le regard face à la vitre au loin, pour seule compagnie, les larmes.

Ce harcèlement quotidien, tellement habituel, qu’il finissait par devenir « normal » et on acceptait, on se résignait. Après tout c’était une journée ordinaire.

Rentrée à la maison, on cache notre détresse, on sourit, on raconte que tout va bien et la nuit tombée on s’endort en pleurant. 

L’on se demande « pourquoi ». L’on voudrait disparaitre. Ne pas se réveiller. Pour ne plus y aller. On essaie de comprendre mais il n’y a rien à comprendre.

L’on se dit que c’est ainsi. Que nous devons accepter tout cela et se taire.

Mais non, en aucun cas il ne faut ni accepter ni se taire.

Il faut en parler car personne n’a le droit d’être rabaisser, de subir la méchanceté d’autrui, de souffrir de la sorte par la faute d’un autre individu. Ce n’est pas normal. Dites vous que vous êtes une belle personne, d’une grandeur d’âme et de cœur et qu’en aucun cas vous devez vous résigner à accepter et subir tout cela. Il faut en parler à ses proches, à ses parents car nous ne sommes pas la « cause » de ces agissements monstrueux. Nous ne sommes que des victimes. Et nous devons nous interdire de sacrifier notre vie à cause d’actes malveillants et odieux envers notre personne. Nous avons le droit de vivre et non de subir.

  - Corinne Écrivaine – 14-12-2017


L'amant de mes chimères


Isolée dans ma chambre, face à ces quelques pages blanches, j’essaie de ne pas pleurer. J’ai vécu en dissimulant ma peine. Combien de larmes j’ai versées dans le secret de ma solitude.

 

J’ai vécu en essayant d’oublier ce mal qui grandissait et me rongeait d’année en année. Un manque de je ne sais quoi, un mal profond, dont j’ignore la cause.

 

J’ai vécu dans le mensonge.

Oui j'ai menti.

J'ai menti à mon entourage. J'ai fait semblant. Mes proches croyaient me connaître, mais en faite, ils ne voyaient que ce que je voulais leur montrer.

Personne n'a jamais su.

 

J’ai vécu l’âme en peine sur le chemin chaotique et sombre qui est ma vie. Toujours cette question en moi « Pourquoi » N’arrivant pas à trouver ma place dans cette Société du paraître et du virtuel que l’Humain a bâti où toutes les valeurs humaines disparaissaient aux files des années. Où l’amitié et l’amour n’existent plus. Cédant leur place à des relations consommables, express.

J’avançais, dans cette Société connectée dans l’espoir qu’un jour tu aurais croisé ma route. Un Être d’exception avec des valeurs loin de toute cette technologie. Tu m’aurais aimée non pour mon physique c’est une certitude mais pour mon âme, mon cœur et ma personnalité. Tu aurais aimé mon côté fou fou, tu aurais ris avec moi, bien sûre il y aurait eu des conflits mais tout cela n’aurait été que secondaire car tu m’aurais acceptée telle que je suis.

Mon cœur et mon âme vident de sentiments, tu leur aurais apporté de la joie, toi mon Sauveur qui aurait brisé les portes de ma solitude et m’aurait libérée. Certes j’ai des défauts mais ils auraient été moindres face à l’amour que tu m’aurais donné. Je ne suis pas parfaite mais ce que je sais, c’est que je t’aurais aimé d’un amour sincère, vrai et fort. Je t’aurais tout donné, mon cœur, mon âme, mon corps. Tu aurais été mon souffle de vie, ma force et peu importe les embûches, toi à mes côtés, je les aurais affrontées. Je me serais sentie si belle au travers de ton regard empli de tendresse ainsi que tes gestes si langoureux. Mes rondeurs, mes imperfections auraient disparues.

 

Mais tout cela n’est qu’une utopie car tu n’es qu’une chimère perdu dans mes rêves.

Juste une illusion.

Mon cher et tendre.

 

 - Corinne Écrivaine – Fait le Vendredi 26 Juillet 2019.


Tu cliques, tu niques

 

De nos jours internet est entré dans les mœurs, il occupe une place primordiale dans la vie de chacun. Il serait difficile de concevoir la vie sans cet outil virtuel. Mais si l’utilisation du web est intéressante pour certaines recherches, il ne l’est moins pour d’autres. Internet a peut-être rapproché les êtres du monde entier mais il a anéanti toutes les véritables valeurs humaines.

 

Dans notre Société actuelle, le sexe est devenu un produit de consommation. Comme l’on va acheter son pain chez le boulanger, l’on consomme du sexe sur internet. Tout est possible, sans restriction, sans limite jusqu’à devenir le reflet de la perversité humaine. Les hommes, les femmes ne sont plus que des produits de consommation. On prend, on consomme, on jette. Peu importe. Ce n’est plus la personne qui intéresse mais l’assouvissement d’une pulsion. Ce n’est plus du désir mais de la bestialité.

 

Qu’en est-il des plaisirs simples, du jeu de la séduction, le jeu de partager certains moments de complicité afin de se découvrir l’un, l’autre. Apprendre à se connaître. Apprendre à s’aimer. Faire naître mutuellement le désir. S’intéresser à l’autre. Découvrir ses richesses, ses forces, ses faiblesses, ses joies, ses peines. Faire naître la sensualité, le bonheur, la douceur, le plaisir amoureux.

 

Qu’en est-il des véritables relations, basées sur le respect, l’honnêteté, la sincérité ? Est cela de nos jours, des relations virtuelles sans aucunes valeurs ? Tu cliques. Tu niques.

 

- Corinne Écrivaine – Fait le samedi 17 Mars 2018